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Bernard PATEYRON
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Je m'appelle Bernard PATEYRON et je suis le webmaster de ce site.créé en utilisant MyHeritage.com. A ce site sont jointes dans l'arbre "Grasset d'Orcet" mes recherches sur la généalogie de cet érudit auvergnat, décédé à Cusset (03) en 1900. C'est pourquoi vous pouvez voir des armoiries qu'à ma connaissance aucun Pateyron n'a portées. Notre arbre généalogique est affiché en ligne sur ce site! Il y a 193542 noms dans notre site familial. Le site a été mis à jour la dernière fois le 6 avril 2021, et il compte actuellement 31 membre(s) inscrit(s). Voici quelques étymologies possibles du nom PATEYRON. que l’on retrouve sous les formes équivalentes PATEYRON, PATHEIRON, PATHERON, PATEIRON, PATERON, PETEYRON, PATRON. L’étymologie est rarement commentée. De façon immédiate la transition des différentes formes PATEYRON vers PATRON et vice versa est attestée dans cet espace généalogique. La forme PATRON est plus typique de la Champagne mais se trouve déjà chez leurs ancêtres de la Haute-Vienne (Saint-Sulpice-Laurière) et de la Creuse (Arrènes). Sous la forme PATEYRON, il est possible que le Y soit un G ce qui a fait évoluer le patronyme depuis PATEGRO(A)N. Autrement dit grand(s) pat(t)e(s) ou grandes mains qui un surnom assez fréquent. Les étymologies dérivées de pastoureau (pâtre) ou patenôtre, surnom de chantre sont moins probables mais ne peuvent être exclues. Pour mémoire citons aussi une étymologie induite par les textes de Grasset d’Orcet qui établiraient une correspondance avec BATAVE ou « passeur des marais ». Ce que ne contredit pas l'analyse ADN. Les Mormons proposent une étymologie depuis le générique de PATARIN, des hérétiques chrétiens souvent assimilés aux bogomiles et cathares. (voir ci-dessous Edina BOZOKY, « PATARINS », Encyclopædia Universalis [en ligne], consulté le 16 décembre 2015. URL: http://www.universalis.fr/encyclopedie/patarins/). Il semble que ce qui caractérisait les Patarins était leur errance piétonne PATARINS Terme désignant les membres (patarinos, paterenos, paterinos) de différents mouvements réformateurs ou hérétiques du Moyen Âge, et d'abord les partisans d'un mouvement qui prônait des réformes radicales à Milan en 1056-1057 et qui, appelé Pataria, se portait contre le clergé concubinaire et simoniaque. Ce terme sert aussi à désigner, à titre de synonyme, des hérétiques dualistes tels que les cathares. C'est le pape Alexandre III qui donne pour la première fois à ceux-ci la dénomination de patarins (concile du Latran, 1179). Au XIIIe siècle, elle est fréquemment attribuée aux cathares d'Italie. D'autre part, Hugues Éthérien appelle ainsi, dans son traité Adversus Patharenos (1166-1180), les bogomiles de Byzance. Enfin, le terme de patarins est appliqué à des hérétiques dualistes de Bosnie, aux bogomiles mitigés de Bosnie et d’ Herzégovine que les hérésiologues médiévaux et les érudits contemporains appellent ainsi afin de les distinguer des cathares de France et d'Italie, et des bogomiles de Bulgarie et de Byzance. Les hérétiques bosniaques se nommaient eux-mêmes « chrétiens » (leur communauté constituait l'Église de Sclavonie). En 1199, Kulin, ban de Bosnie, et dix mille sujets bosniaques se convertissent à la foi patarine. Le pape Innocent III s'adresse au roi Émeric de Hongrie, dans une décrétale, en lui demandant de réagir contre la propagation de l'hérésie en Bosnie. Sous la menace d'une croisade contre son pays, Kulin abjure son hérésie (1203). Mais le nombre des hérétiques ne diminue pas. En 1232, les Bosniaques déposent leur ban catholique, et ils lui substituent un patarin, Ninoslav (mort en 1250), sous le gouvernement de qui le patarinisme devient définitivement religion d'État. Après sa mort, la Bosnie et l'Église hérétique sont souvent menacées par les différents pouvoirs politiques et ecclésiastiques de l'extérieur. Sous Étienne Tvrtko Ier (1353-1391), l'Église bosniaque peut jouir d'une complète égalité avec les Églises catholique et orthodoxe du pays. Après l'invasion turque (1463), ses adeptes deviennent musulmans. Sa doctrine était proche de celle des bogomiles mitigés de Bulgarie et de Byzance ; elle consistait en un dualisme moins radical que celui des cathares dits absolus. La communauté se divisait en deux catégories, les simples croyants et les parfaits (initiés), et elle était gouvernée par un évêque, qui siégeait probablement à Janici. Selon Frédéric Godefroy, Dictionnaire de l’ancienne langue française et de tous ses dialectes du IXe au XVe siècle, édition de F. Vieweg, Paris, 1881-1902, d’autres explications sont possibles. Dans l’ancien français patarin, la variante patérin est due à une accusation probablement infondée puis par étymologie populaire, que ces hérétiques ne priaient qu'avec la prière du pater. En italien (XIIIe siècle) patarini (« membres de la Pataria, mouvement religieux de la seconde moitié du onzième siècle, à Milan, qui luttait contre les vices du clergé de l'époque, le mariage des prêtres et la simonie »), le rapprochement avec Pattaria, nom d'un quartier pauvre de Milan où a pris naissance le mouvement des Patarins, et qui signifie « quartier des fripiers », est localement fortuit mais pas sémantiquement : le radical est probablement, avec le sens de « guenilleux » le patta (« chiffon, guenille, haillon ») qui nous donne pat et apparenté à patte(« chiffon, serpillère »). Le mot a par la suite été appliqué aux autres hérésies.
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